Famille prestigieuse d'origine de la region d'Aquitaine (Vayres)
http://www.pastellists.com/Genealogies/Gourgue.pdf

http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Gourgues

http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Vayres

http://books.google.com/books?id=Sx8VAAAAQAAJ&pg=PA347&lpg=PA347&dq=comte+de+gourgue+a+vayres&source=bl&ots=CApxXhi8aZ&sig=9MKbCUEKXwBbrOCcnNzqcvQ4R3w&hl=en&ei=iszWTNL2GIycsQPqv-WMCw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=6&ved=0CDAQ6AEwBQ#v=onepage&q=comte%20de%20gourgue%20a%20vayres&f=false

http://bertrand.auschitzky.free.fr/AppendicesDanglade/Vayres.htm

Le marquis de Gourgue essaya de rattacher Le Blanc-mesnil a Aulnay en 1860 par le truchement du demantellement de l'eglise et du cimetiere, imposant ainsi aux habitants du Blanc-mesnil de se rendre a Aulnay, mais ca n'a pas fonctionne...

*** En mai 1816, Louis XVIII ordonne que les nobles rentrent en possession de leurs biens et qu'ils se substituent aux maires.
C'est ainsi que le marquis de Gourgues(*), déjà maire d'Aulnay, devient maire de Blanc-Mesnil. Il remplace Pierre Maillet, fermier de la ferme neuve et maire depuis 1800.
En 1818, le marquis de Gourgues met en vente l'église, le presbytère et le cimetière de Blanc-Mesnil.
Les Blanc-Mesnilois se rendront désormais à la messe à Aulnay, par un chemin impraticable six mois de l'année.
En 1860, Aulnay projette tout simplement d'annexer Blanc-Mesnil. Elle donne comme motifs la faiblesse numérique de la population éparse et sans agglomération, la position topographique des deux principaux groupes d'habitations : « une douzaine d'habitations, une aile de château en ruine, deux fermes, un moulin-ferme, quelques chaumières destinées aux ouvriers occupés par ces exploitations agricoles » et, à Groslay, « deux fermes, une trentaine de personnes » plus « une maison bourgeoise et une cabane en planches sur la route de Flandre. Vingt-deux électeurs, pas d'église, pas de cimetière, ni presbyte ni maison commune, ni maison d'école, ni bureau de bienfaisance. »
En réponse, le conseil municipal de Blanc-Mesnil prie à l'unanimité « M. le préfet de ne donner aucune suite à la proposition intempestive et spoliatrice de quelque cerveau égaré à laquelle trois conseillers, deux domestiques à gage, l'un d'eux de M. le comte de Gourgues et un conseiller sachant à peine écrire, ont apposé leur signature ».
Le conseil général tranchera en faveur de Blanc-Mesnil le 26 août 1863, en disant qu'il n'y a pas lieu de réunir la commune de Blanc-Mesnil à celle d'Aulnay. « Les habitants de Blanc-Mesnil sont unanimes pour s'opposer à la réunion demandée par Aulnay.
Aucun intérêt à cette réunion, si on considère l'importance de son territoire et les chances d'accroissement de la population à raison de la facilité des communications avec Paris. L'activité de la commune tend à se porter plutôt vers Paris. ***