<< Qui suis-je ? >>
« Tout ce qui est selon la nature est digne d’estime . » Ciceron 43 avant JC
La réflexion a fait son chemin depuis Cicéron mais les fondements sont toujours d’actualité :
Nature comme « système des choses » ou Nature par opposition à « artifice »,c’est notre quotidien.
La photographie,vécue comme une passion ou expression personnelle d’un moment exceptionnel de sa vie,nous aide à saisir ces merveilleux instants.
Elle peut être spontanée ou créative…ou spontanée-créative.
En tout cas ,une photographie comme l’œuvre ou le travail au sens littéral du terme,
Est l’expression de l’âme humaine.
Ayant quitté la vie active,je me consacre à cette passion,qui,au milieu de la nature
Nous réconcilie avec l’homme et nous relie à celui que nous pensons être le Créateur.
En toute simplicité,je vous invite à regarder quelques-unes de mes photographies
Qui,je l’espère,vous feront découvrir ou redécouvrir la nature en France et notamment en région Centre :très belle région qui attend vos visites .
Bien amicalement à toutes et à tous .
Jean-François
<< Rencontre avec la nature >>
« Il est des jours où l’on ressent le simple fait de voir comme un véritable bonheur. »
Robert DOISNEAU
It is days when one feels the simple fact of seeing like a true happiness.
« A la question:”qu’est-ce qu’une bonne image?”Je me contente ,faute de mieux,de répondre
Que c’est celle qui a su communiquer l’émotion qui l’a fait naître. »
Willy RONIS
« S’il n’y a pas d’émotion,s’il n’y a pas un choc,si on ne réagit pas à la sensibilité,on ne doit pas prendre de photo.C’est la photo qui nous prend. »
Robert DOISNEAU
“With the question: ” what a good image? “I am satisfied, for want of anything better, to answer
That it is that which knew to communicate the emotion which gave birth to it. “
Willy RONIS
“If there is no emotion, if there is not a shock, if one does not react to the sensitivity, one should not take photo.C' is the photograph which takes to us.”
Robert DOISNEAU
<< art dans la ville >>
Photos prises dans la ville ou dans des propriétés accueillant des artistes.
<< créations >>
creations dans la nature et creations dans l'atelier
<< faune de notre région et d'ailleurs >>
"Le renard en sait beaucoup,mais celui qui le prend en sait davantage." Miguel de Cervantès.
<< flore de nos regions >>
" L'idée qu'on se fait de la nature,en France,c'est qu'elle pousse et qu'elle est verte ."
Roger Nimier cahiers Roger Nimier, n°1
<< insectes ,reptiles et autres classes >>
<< oiseaux de France et d'ailleurs (1) >>
" Oie,oie sauvage ,tu l'as fait à quel âge ton premier voyage?"
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 3 ) >>
Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ? François Coppée
<< portraits >>
" Je n'ai jamais poursuivi l'insolite,le jamais vu,l'extraordinaire , mais bien ce qu'il y a de plus
typique dans notre existence quotidienne ..." Willy RONIS ;
<< oiseaux de France et d'ailleurs (2) >>
<< Basilique de VEZELAY patrimoine mondial de l'humanité depuis 1979 >>
Basilique Nom donné dans l'antiquité aux églises qui, à la différence des simples maisons transformées en lieux de culte, étaient construites sur le plan des basiliques civiles de l'Empire romain : un rectangle terminé par une ou plusieurs absides. Titre conféré par le pape à certains sanctuaires (ex. Lisieux, Montmartre, Vézelay...).
<< Abbaye de la Prée Rencontres musicales de mai 2008 >>
Le domaine de la Prée - à Ségry dans l'Indre (36100) est une abbaye cistercienne de l'époque de Saint-Bernard.Propriété privée à la Révolution,elle fut léguée à l'association "Les Petits Frères des Pauvres" en 1954.
Le domaine compte une quarantaine d'hectares de prés et de forêts. Il est bordé par une rivière, l'Arnon.
Les bâtiments sont constitués de la maison abbatiale, de l'hôtellerie, d'annexes et de granges.
L'hôtellerie est utilisée, sous la responsabilité des Petits Frères des Pauvres pour recevoir des personnes âgées en hébergement temporaire et en séjours de vacances.
La maison abbatiale est, depuis 1991, le siège d'une activité artistique et culturelle menée par l'association Pour Que l'Esprit Vive :
<< mammifères (2) >>
"Bientôt,le cheval sera sur la terre quelque chose d'aussi étrange que la girafe ."
Jules Renard Journal (1899)
<< oiseaux de France et d'ailleurs (4 ) >>
Le plus ancien oiseau dont nous avons connaissance est l'Archéoptéryx qui vivait il y a 155 ou 150 millions d'années.Il avait des plumes comme un oiseau et des dents comme un reptile .
<< Si un jour vous visitez l'île de Ré.... >>
Ré, la blanche.
'île de Ré «Ratis insula» est une terre basse de vingt-huit kilomètres de long sur cinq de large. Elle offre au regard le charme de sa côte, de ses dunes, de ses marais salants, de ses vignes et de ses forêts. Avant de devenir une place forte, rempart naturel et protecteur des villes de La Rochelle et de Rochefort, l'île est un refuge monastique. Elle se transforme avec l'implantation de maisons blanches auréolées d'une lumière exquise.
Le sel et le vin de Ré confèrent une richesse à cette île de Charente-Maritime qui permet de nos jours, au quartier de Saint-Martin, d'exposer aux regards des nombreux touristes, de superbes logis d'armateurs et un magnifique palais où résidèrent les gouverneurs successifs. La douceur de Ré, plantée de pins maritimes sur l'initiative de Napoléon III, donne à l'île des aspects enchanteurs.
Hélas ! L'île n'a pas toujours été un havre de paix parcouru par maints contemplatifs attirés par la splendeur des lieux. Son intérêt géographique, porte ouverte sur l'Atlantique aux marches de Bretagne et des Charentes, lui a valu d'être successivement possession anglaise autant que française et son essor économique l'a changée en port franc et prospère.
lien vers le site qui relate l'histoire de l'île :http://ameliefr.club.fr/ile-de-re.html
<< Le mariage de Julie et Emmanuel à Albi le 2 août 2008 >>
Le lai du chèvrefeuille de Marie de France fin du XII ème siècle
De ces deux,il en fut ainsi
Comme du chèvrefeuille était
Qui au coudrier s'attachait:
Quand il s'est enlacé et pris
Et tout autour du fût s'est mis,
Ensemble peuvent bien durer.
Qui plus tard les veut détacher,
Le coudrier tue vivement
Et chèvrefeuille mêmement.
"Belle amie,ainsi est de nous :
Ni vous sans moi,ni moi sans vous !"...
<< Festival des jardins de Chaumont sur Loire >>
Le festival international des jardins
La devise du festival : venez piquer nos idées !
Edition 2008 du festival (du 30 avril au 19 octobre 2008) :
"Des jardins en partage".
Le principe du festival est simple : le parc dessiné par Jacques Wirtz comporte 26 parcelles entourées de haies de hêtre et de charme, d'environ 240 mètres carrés chacune. Depuis 1992, le parc du château de Chaumont accueille des créations de jardins contemporains.
Les jardins du Festival de Chaumont-sur-Loire, qui se tient chaque année de mai à octobre, sont sélectionnés à l'issue d'un concours international : plusieurs centaines de projets venus du monde entier.
Les meilleurs projets, qui constituent un panorama étonnant de l'état de la création paysagère dans le monde, sont réalisés. Prototypes des jardins de demain, à la fois ludiques et merveilleux, ils sont aussi une inépuisable mine d'idées accessibles à tous et adaptables par chacun.
<< Oiseaux de France ou d'ailleurs ( 5 ) >>
"Aussi beau que soit son plumage,
Aussi majestueux que soit son vol,
C'est par le chant que l'oiseau
Réjouit le coeur de l'homme."
<< Château Saint-Hubert Neuvy sur Barangeon 18330 >>
Remerciements très chaleureux à Monsieur et Madame de NICOLA et à leurs enfants d'avoir accepté d'accueillir les anciens élèves de Saint-Louis et autres établissements du diocèse de Bourges le 8 septembre 2008 à l'occasion de leur assemblée générale annuelle.
<< brame_2008 >>
Dans une allée forestiére
l'oeil aux aguets
Cachés derrière
un chêne centenaire
Apparue une harde
Trois biches
Telles des elfes
diparurent dans la trouée
Un grand fracas
Un dix cors
Tel un centaure
la tête dressée
Dans le soleil couchant
Lance un brame de victoire
La forêt frémit
L'air vibre
D'un trot tranquille
Sûr de lui,il disparaît
Rejoindre sa harde
Qui l'attend là-bas
au milieu de la clairière secrète
<< Chateau de Valencay 36600 VALENCAY >>
SON HISTOIRE
Un ancien château féodal
Il semble que le domaine gallo-romain du nom de Valens soit à l'origine du site de Valençay. Une villa est construite sur les lieux vers les Ille-IVe siècles, puis des ateliers et bâtiments se groupent progressivement autour. A la fin du Xe siècle, un important donjon est érigé. On attribue à Gauthier, seigneur de Valençay, la construction du premier véritable château féodal. A cette époque, la terre de Valençay, comprenant 20 000 hectares, est dans la mouvance des comtes de Blois, mais morcelé entre plusieurs seigneurs. Cette division ne prend fin qu'au XIIe siècle. Le Château devient alors, à la suite d'un mariage, propriété de la famille de Chalon Tonnerre, qui le remanie, l'agrandit et en améliore le système défensif.
La naissance d'une prospérité
Au XVe siècle, la seigneurie passe à la famille d'Etampes, qui occupe une place importante au sein du royaume. Le fils et successeur, Louis d'Etampes, gouverneur et bailli de Blois sous François Ier fait élever un petit château dès la fin du XVe siècle grâce à la fortune de son épouse, Marie Hurault.
Un fleuron de la Renaissance
Mais c'est à Jacques Ier d'Etampes que l'on doit, en 1520, la construction du Château Renaissance, chef d’œuvre dont le point d'orgue est l'admirable pavillon d'entrée. Majestueux et imposant, ce donjon symbolique est décoré de la manière la plus fine : sa couronne de mâchicoulis est minutieusement travaillée, et les chapiteaux de ses pilastres sont ornés des trois ordres classiques : dorique, ionique et corinthien. De chaque côté du donjon, on construit les corps de bâtiment, dont la somptueuse galerie italienne à arcades, et les tours d'angle aux toits en dôme. Le tout contribue alors à faire de Valençay, dans la lignée de Chambord, une référence en matière d'architecture de la Renaissance.
Un bel exemple de l'architecture classique
En 1770, la famille propriétaire du château, Legendre de Villemorien, supprime l'aile et s'attache à embellir la grande aile ouest. La toiture est aménagée «à la Mansard» - alternance d'œils de bœuf et de lucarnes. Enfin, est édifiée l'élégante Tour sud (ou Tour Neuve), et rétablie ainsi une symétrie, formant alors un ensemble des plus harmonieux illustrant à merveille le style classique.
Valençay, la demeure du prince de Talleyrand
Au-delà de la beauté de son architecture et de la splendeur de son mobilier, le Château de Valençay est également célèbre pour son histoire. En effet, le Château fut, pendant plus de trente ans, la propriété d'un personnage illustre qui a marqué de son empreinte l'histoire du XIXC siècle : Charles Maurice de Talleyrand. Poussé par Napoléon, il acquiert en 1803 le domaine de Valençay, pour y recevoir les dignitaires étrangers. Le Château connaît alors son heure de gloire pendant près d'un quart de siècle, il devient la demeure du célèbre diplomate. Personnage hors du commun et homme de goût, Monsieur de Talleyrand remplira à merveille son rôle d'hôte, recevant ambassadeurs officiels, musiciens, peintres de renom... De 1808 à 1814, Napoléon lui impose la présence des princes d'Espagne en exil. Talleyrand et son épouse, la Princesse de Bénévent, reçoivent dignement les princes et leur suite, faisant de Valençay une véritable prison dorée. En 1813, le Traité permettant à Ferdinand d'Espagne de regagner son trône est signé dans le Château. En 1834, après avoir quitté son poste d’ambassadeur à Londres, Talleyrand prend sa retraite à Valençay
<< oiseaux de France et d'ailleurs ( 6 ) >>
ARISTOPHANE
LES OISEAUX.
PISTHÉTÈRE. Holà ! hé !
EUELPIDE. Qu'est-ce donc ?
PISTHÉTÈRE. Depuis longtemps la corneille m'indique quelque chose là-haut.
EUELPIDE. Et ce geai aussi ouvre le bec comme pour me montrer quelque chose. Il n'est pas possible qu'il n'y ait pas par là des oiseaux. Nous le saurons tout de suite en faisant du bruit.
PISTHÉTÈRE. Alors, sais-tu ce qu'il faut faire ? Heurte ta jam be contre cette roche.
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 7 ) >>
"L'observation des oiseaux est d'abord une activité spirituelle (dans le sens philosophique du terme).Très loin de nous, les oiseaux nous montrent une forme de liberté et de beauté.Le véritable "orniguetteur" peut passer une journée à observer le comportement d'un groupe de corneilles sur la plage de Morecambe.L'observation commence dans les jardins." Angelo Gandolfi "Observer les oiseaux".
<< ORCIVAL en Auvergne >>
ORCIVAL
_________
" Capitale de la Gentiane d'Auvergne "
(27 km environ au Sud-Ouest de Clermont-Ferrand)
Code Postal : 63210 (Puy-de-Dôme)
Office de tourisme intercommunal
La ville:
Orcival, petite localité située dans le frais vallon arrosé par la Sioule, conserve une magnifique église romane, fondée par les moines de la Chaise-Dieu. Station climatique d'été et station verte.
Les terres d'Orcival furent propriété des comtes, puis des Dauphins d'Auvergne jusqu'en 1243.
Au XIème siècle, une église, située à l'est du village, accueillit une statue de la Vierge, extrêmement vénérée; une légende prétend qu'elle avait été sculptée par saint Luc.
A l'origine, un grand nombre de bienfaiteurs ou d'anciens prisonniers venaient offrir des ex-voto à la Vierge sous forme de chaînes, menottes, et autres fers en remerciement pour la réalisation de leurs vœux. Quelques-unes de ces chaînes à boulets sont toujours visibles sur l'élévation du transept sud de la basilique et ont valu à celle-ci le surnom de " Notre-Dame des Fers ".
Excursions:
Rives et vallée verdoyante du Sioulet
Cascade et lac de Servières
Forêts
Roches branlantes de Gelles et Orcival, roches Tuilière et Sanadoire (dykes de phonolithe isolés)
Sentiers de grandes et petites randonnées, circuits VTT...
Visites:
Basilique romane Notre-Dame : fondée par les Comtes d'Auvergne au XIIème siècle, elle l'une des trois principales de basse Auvergne, consacrée à la Vierge... [ En savoir plus ]
Château de Cordès : Manoir des XIIIème et XVème siècles, restauré au XVIIème siècle par le Maréchal d'Allègre...
Maison des Fleurs d'Auvergne (à 10 km au Sud d'Orcival par la D 27 et la D 983).
Ressources:
Pâturages, bovins, fromages et liqueurs, Centre de recherches zootechniques et vétérinaires...
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 8 ) >>
" Il est des fois où un antique besoin de capter les merveilles de la nature nous empoigne.
Durant de tels instants,la virtuosité et le professionnalisme deviennent secondaires. "
Compositions Jim Brandenburg .
<< Les jardins de DRULON en Berry - Loye sur Arnon 18170 >>
Sur 15 hectares, le Domaine de Drulon offre à la fois la plus grande exposition à ciel ouvert de sculptures contemporaines et une succession insolite de six jardins :
- le Jardins de fleurs aux 1400 rosiers et 6000 vivaces
- le Jardin de chambres avec son théâtre de verdure
- les Marais bordés de sentiers et de labyrinthes naturels
- le Jardin secret du Château avec ses viviers restaurés.
http://www.drulon.com
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 9 ) >>
Le héron pourpré et la famille des "ardea "Fiche d’identité :Ordre des Ciconiiformes; Famille des Ardéidés
English name :Purple Heron
Nom scientifique :Ardea purpurea
Nom local :Inconnu
Mensurations :
Longueur : 79 à 90 cm
Envergure 120 à 150 cm
Poids : 530 à 1200 gr
IDENTIFICATION : Grand héron de taille légèrement inférieure à celle du Héron cendré, le Pourpré s’en distingue par une silhouette plus svelte, son plumage roux strié de noir sur la tête, les cotés et le devant du cou, une teinte générale pourpre ou alternent les gris et les roux des grandes plumes effilées du thorax et des ailes. L’arrière du corps parait plus sombre et uni avec des rémiges et une queue courte d’un gris ardoisé. Le bec jaune a la forme d’un poignard et prolonge, sans rupture de ligne, la tête fine et étroite qui est couverte sur le dessus d’une huppe noire qui redescend sur la nuque. Les jeunes ont plumage plus clair, roux sur le dessus et crème sur le dessous, avec une calotte sombre sur la tête sans huppe. Les pattes sont jaune verdâtre munies de longs doigts qui permettent au Héron pourpré de se déplacer dans les milieux aquatiques encombrés de végétation. En vol le cou replié en forme de « S », est plus proéminent que chez le Héron cendré. Il n’existe pas de dimorphisme sexuel apparent si ce n’est que les femelles sont de taille légèrement inférieure. Ses yeux sont jaunes et ronds et lui confèrent une excellente vision, son sens principal pour pêcher. En action de pêche, le Héron pourpré pratique l’affût dans l’eau peu profonde à proximité d’une végétation dense, tous ses sens en éveil il apparaît tendu à l’instar d’un reptile qui va se détendre vers sa proie.
Occasionnellement, au gré d’un dérangement ou d’un déplacement on peut l’entendre pousser un cri rauque et guttural qui ressemble à celui du Héron cendré.
BIOLOGIE
ALIMENTATION :Poissons de taille petite à moyenne (< à 20 cm), batraciens, reptiles, insectes aquatiques et leurs larves, petits rongeurs.
HABITAT : Roselières, prairies humides et boisements humides de vastes étendues marécageuses, d’étangs de lacs et de cours d’eau.
REPRODUCTION : Une seule ponte annuelle, maturité sexuelle dés l’âge d’un an. Nid au sol ou plus rarement, comme dans le Blayais, dans des arbres de faible hauteur, dans une végétation aquatique dense telle que les roselières ou les saussaies. Ponte de mai à juin de 4 à 5 œufs bleu-verdâtre pâle qui seront couvés par les deux parents pendant 25 à 30jours. Les jeunes sont nidicoles et ne prendront leur envol qu’après 45 à 50 jours.
Rythme d’activité et déplacements :Diurne et nocturne, il est grégaire en période de reproduction ou il peut se montrer sociable. Sur l’estuaire de la Gironde dans les marais du Blayais, plusieurs couples installent leurs nids en colonie avec d’autres ardéidés. Solitaire sur ses lieux de pêche et en dehors de la péériode de reproduction. Les premiers nicheurs arrivent en mars-avril, et le départ vers les zones d’hivernage situées en Afrique de l’ouest, se déroule d’août à octobre.
REPARTITION : Distribué de façon sporadique dans la moitié sud de l’Europe sur les grands ensembles humides. Présent dans toute l'Afrique à l'exception de la zone Sahelo-saharienne.
POPULATION ET DEVENIR : En France le Héron pourpré est cantonné dans les grandes zones humides que sont la Camargue, la Dombes, La Brière, la Sologne, la Brenne, le Marais vendéen et Breton, le long de certains grands fleuves comme la Loire, la Saône, le Rhône, la Garonne et dans les marais riverains de l’estuaire de la Gironde. La population française est estimée à 4000 couples. L'espèce semble regagner du terrain en France.
QUAND LA VOIR : D’avril à août, espèce plus active en début et fin de journée.
<< Oiseaux de France et d'ailleurs (10) >>
Mosaïque d'étangs(plus de 2000),de buttons,de landes et de prairies,mais aussi de pittoresques vallées ( Creuse ,Anglin...) et bocages vallonnés,le Parc naturel régional de la Brenne couvre l'une des plus importantes zones humides continentales françaises .A ce titre,la Brenne est inscrite sur la liste des sites de la convention internationale de Ramsar pour la préservation des zones humides et le Parc participe au réseau écologique européen Natura 2000.
<< Oiseaux de France et d'ailleurs (11) >>
Les organisateurs de la journée mondiale des oiseaux migrateurs choisirent pour thème : « Oiseaux migrateurs, ambassadeurs de la biodiversité ». Des écologistes et amateurs d’ornithologie de plus d’une centaine de pays s’inscrirent à cette rencontre. On en vint à la constatation que la population d’un grand nombre d’espèces d’oiseaux migrateurs décroît.
On estime que 41% des oiseaux migrateurs empruntant le couloir Afrique-Eurasie décline. On soupçonne que d’autres espèces d’oiseaux chanteurs voyageant sur cette route voient également leur nombre diminuer. Les échassiers migrants se présentent en moins grand nombre lors de leurs déplacements sur l’itinéraire Asie-Pacifique. Les parulines du Canada, qui voyagent entre le nord de ce pays et l’Amérique du sud ne retrouvent plus sur leur passage de sites de nidification ce qui les incite à bifurquer vers des terres plus accueillantes.
Les oiseaux migrateurs qui survolent de grandes distances dépendent essentiellement d’endroits de nidification et d’hibernation ainsi que des sites de repos. La longue durée du trajet qu’ils effectuent occasionne de nombreux arrêts en cours de route. À la perte d’habitats naturels s’ajoutent les effets du changement climatique. La hausse des températures assèche les terres devenues plus arides et favorise la formation de tempêtes plus fréquentes. L’augmentation du niveau de la mer entraîne le recouvrement de certaines terres humides où aiment se réfugier les oiseaux de passage.
Face à la perspective du départ des oiseaux migrateurs des régions habituellement parcourues, il convient d’adopter des mesures de protection des milieux naturels se trouvant sur le parcours de ces grands voyageurs afin de ne pas devoir se priver de la vue de ces formations d’oiseaux traversant nos contrées.
Source: UNEP
<< FONTGOMBAULT Assemblée générale du 7 septembre 2009 >>
Origine :
L'abbaye Notre-Dame de Fontgombault a été fondée par Pierre de l'Étoile en 1091. Interrompue en 1741, la vie bénédictine y a été restaurée en 1948 par des moines de l'abbaye de Solesmes ; Le monastère fait donc partie de la congrégation bénédictine de Solesmes, dont le berceau fut l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes (Sarthe), relevée par Dom Prosper Guéranger en 1833, alors que la vie bénédictine avait été dispersée par la tourmente révolutionnaire.
Saint Benoît a voulu instaurer dans l'Eglise une "école du service du Seigneur", dans le cadre le plus naturel - la famille -, pour la recherche la plus haute - l'union à Dieu -, vers le terme le plus surnaturel - l'éternité -. Pour saint Benoît, et pour ses fils après lui, "la vie présente n'est qu'un apprentissage, un essai, un noviciat d'éternité : c'est en vue de l'éternité qu'il y a pour nous des choses à abandonner, des choses à apprendre, des choses à conquérir" (Dom Delatte, 2e successeur de Dom Guéranger). La grâce solesmienne, dont l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault a hérité, est celle de la vie bénédictine strictement contemplative, où la perfection est recherchée dans tous les domaines : perfection de l'Opus Dei (la liturgie), amour de la doctrine intégrale de l'Eglise... En effet, "l'oeuvre propre du Bénédictin, son lot, sa mission, c'est la liturgie. Il émet profession pour être, dans l'Eglise, société de louange divine, celui qui glorifie Dieu selon les formes instituées par elle... Il est tout entier homme de prière" (Dom Delatte).
Dédié à Notre-Dame dans le mystère de son Assomption, le monastère de Fontgombault a pour devise "Fons Amoris" - Fontaine d'Amour -. Avec la bienheureuse Mère de Dieu, et par elle, le moine de Fontgombault est appelé à se cacher dans le Cœur de l'Eglise et, selon le mot de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, à y être l'amour.
Aujourd'hui :
La Congrégation de Solesmes a essaimé non seulement en France, mais dans plusieurs pays d'Europe, sur le continent américain, à la Martinique et en Afrique. Le monastère de Fontgombault a pu faire quelques fondations : Notre-Dame de Randol (Auvergne) en 1971, Notre-Dame de Triors (Drôme) en 1984, Notre-Dame de Gaussan (Aude) en 1994 et enfin Notre-Dame de Clear Creek (U.S.A) en 1999. En tous ces lieux, les moines s'efforcent de vivre l'idéal contemplatif de la consécration monastique hérité de saint Benoît et recueilli par Dom Guéranger.
Dans le diocèse de Bourges :
Abbaye Notre-Dame
F - 36220 FONTGOMBAULT
Tél. : 02 54 37 12 03
Fax : 02 54 37 12 56
Hôtellerie : sur demande écrite au Père hôtelier Office : Messe tous les jours à 10 h
Vêpres 18 h en semaine (sauf le jeudi)
17 h les dimanches et fêtes
Pour en savoir plus sur le monachisme bénédictin, vous pouvez consulter, lire ou imprimer la Règle de saint Benoît sur le site des moines de Belloc.
<< Rencontre Bourges basket - Sopron du 11 novembre 2009 >>
BOURGES BASKET
http://www.bourgesbasket.com
Sopron (Féminine)
Fiche d'identité
Nom officiel MKB Euroleasing Sopron
Pays Hongrie
Ville Sopron
Année de fondation 1921
Site officiel http://www.wb-sopron.com/
Salle Mkb Arèna Sopron
Président Zoltan Török
Adresse wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/MKB_Euroleasing_Sopron
Adresse postale Raabersport Kft Lackner Kristóf u 48, 9400 Sopron
<< BOURGES BASKET - SALAMANQUE le 5 février 2010 à Bourges >>
Match retour en 8ème de finale de la coupe de l'Euroligue.
Ces quelques photos pour oublier l'échec à Salamanque le 10 février 2010,mais quel match !
Le Berry Républicain par la plume de Christian Ragot , le jeudi 11 février,commente :
"Cette fois ,les Tango ont tout donné et fait honneur au Bourges basket mais plombées par les fautes,elles n'ont pu défendre leurs chances jusqu'au bout alors qu'elles avaient maîtrisé le match jusqu'à la dernière ligne droite ( 40-41 ,30è) .
Bravo les filles !
http://www.bourgesbasket.com
http://www.perfumeriasavenidabaloncesto.com/index2.asp
<< Oiseaux de France et d'ailleurs (12) >>
A L'OMBRE D'UN CHEMIN CREUX
C'est un chemin creux comme bien d'autres, néanmoins si vous
l'empruntez il ne vous mènera nulle part.
Il se fraye un passage parmi les ronces qui ont envahi ses bas-côtés,
l'aubépine y côtoie l'églantine dont les fruits charnus éclataient de
couleur sous le soleil généreux de cet après-midi d'automne.
Les cardères s'y dressent, droites et fières...Et là, dans l'une des
nombreuses ornières creusées à sa surface est restée l'eau des
dernières pluies. L'eau, source de vie, bonheur des oiseaux de ce jour.
Je me suis arrêtée pour les regarder s'ébrouer, oh, des espèces bien
communes mais qui se côtoyaient pour mon grand plaisir : il y eut
ainsi moineaux friquets, chardonnerets, mésange charbonnière,
verdier, pinsons des arbres et pinson du nord, tarins des aulnes,
bruant jaune, rouge-gorge et geai des chênes...
Rien que des espèces communes mais les plaisirs sont faits, aussi,
de temps à autre, de choses simples.
Michelle ,
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 13 ) >>
Ebats amoureux des mouettes rieuses et patience du balbuzard pêcheur
MOUETTE RIEUSE
La mouette rieuse est un élégant oiseau aquatique et les deux sexes sont identiques.
L'adulte en plumage nuptial a le dos et le dessus des ailes gris clair. Les primaires externes sont blanches avec les extrémités noires. Le bord d'attaque est d'un blanc pur, mais il devient noir vers les primaires les plus externes. Le dessous des primaires est sombre.
La mouette rieuse a un capuchon brun-chocolat qui s'étend jusqu'à l'arrière de la partie auriculaire, et des croissants blancs autour de l'œil.
Les parties inférieures sont blanches, parfois teintées de rose sur la poitrine au printemps. La queue est blanche.
Le bec, les pattes et les doigts sont rouge noirâtre. Les yeux sont foncés.
L'adulte en plumage d'hiver a des taches sombres nettes en arrière des yeux. Le capuchon sombre disparaît après la saison nuptiale. On peut voir deux barres noires indistinctes en travers de la calotte. Le bec est rouge avec l'extrémité noire. Les pattes et les doigts sont rouges.
Le juvénile et l'immature n'ont pas de capuchon noir.
Comportements : La mouette rieuse est très grégaire en dehors de la période de reproduction. Elle se nourrit et dort en grands groupes. Cet oiseau est un opportuniste qui "nettoie" les villes et les plages, ou qui se nourrit dans les champs labourés. En effet, les groupes suivent la charrue et capturent des vers et d'autres invertébrés. Elle se nourrit aussi en marchant, en nageant, et en plongeant pour saisir des poissons en suivant des bateaux de pêche. Elle vole aussi au-dessus des flots et picore des insectes à la surface.
Quelques disputes peuvent se produire avec les voisins de nids, et la mouette rieuse adopte des postures spéciales. D'autres parades montrent l'oiseau dans des attitudes variées.
La mouette rieuse est monogame et fidèle au site du nid où elle revient chaque année. Elle peut former des colonies mixtes avec des sternes. La parade nuptiale est à son point culminant quand le mâle régurgite de la nourriture à la femelle. L'accouplement a lieu juste après.
LE BALBUZARD PECHEUR :
Le balbuzard pêcheur est un oiseau qui n'a son plumage d'adulte que vers ses 18 mois. Le dos est brun foncé, la poitrine, les joues, le cou, le front et le ventre sont blancs. Chez la femelle les rayures sont plus foncées et elle est plus grosse que le mâle.
Il est un des oiseaux les plus répandus dans le monde. Il vit sur les côtes, en bordure des lacs, des fleuves et des rivières.
Il ne se nourrit que de poisson. Il vole sur place et dès qu'il voit sa proie, il plonge du haut des airs et disparaît dans l'eau pour reparaître quelques instants plus tard avec un poisson qu'il tient dans ses serres.
C'est un oiseau d'une grande puissance quoique de la taille d'un petit aigle. Ses griffes sont tranchantes et ses serres vigoureuses. Il a une vue excellente et il chasse le jour.
Le balbuzard migre vers le sud, mais il s'accouple avant le départ pour revenir au même endroit le printemps suivant pour donner naissance aux petits. Pendant 5-6 semaines, la femelle couvera 3-4 oeufs. Ces petits n'atteindront la maturité sexuelle qu'à l'âge de 3-5 ans.
La survie de cet oiseau est menacée mais par contre, il est protégé.
La durée de vie du balbuzard pêcheur est de 18-20 ans.
<< Etangs de Brenne http://www.parc-naturel-brenne.fr/ >>
Le Parc Naturel Régional de la BRENNE
La Brenne, autrefois appelée "Petite Sologne", en raison du grand nombre de ses étangs, propose un environnement exceptionnel, où Flore et Faune s'épanouissent en pleine liberté.
Dans le secteur des "Mille Etangs" de la Brenne, vous découvrirez, dans un milieu protégé et composé de landes prairies forêts et étangs, loin des zones urbaines et de grand rendement, un nombre impressionnant d'espèces d'oiseaux, près de 270, qui trouvent, dans le Brenne, refuge et nourriture, au cours de leur vie ou de leur migration. La région de la Brenne est également propice à leur reproduction, point d'honneur et de fierté pour la région.
Parmi les différentes espèces vues en Brenne, il est bon de mentionner la Mouette rieuse, le Héron cendré, le Héron pourpré (l'Oiseau-Phénix en était la représentation), le Grèbe au cou noir, le Grand butor, la Guiffette moustac (elle vole sur place comme le faucon et l'on dit qu'elle fait le "Saint Esprit"), le Circaète Jean le Blanc (aigle de 1.80 m d'envergure), et une multitude d'espèces de canards (le Col vert, le Souchet à bec spatulé, le Fuligule Miloin, le Fuligule Morillon) parmi tant d'autres locataires intéressants de la Brenne.
<< La vie des étangs (1) >>
<< La vie des étangs (2) >>
Un étang de Sologne
La nature et l'imperméabilité du sol de la Sologne expliquent la présence de nombreux étangs (environ 3 200 qui représentent 11 500 hectares d'eau). Ils sont, pour la plupart, artificiels, car visant au développement de la pisciculture, de la reconstruction au lendemain de la guerre de Cent Ans à la « Rénovation », sous Napoléon III, de cette région marécageuse. Ils sont particulièrement concentrés près de Fontaines-en-Sologne et autour de Saint-Viâtre, cette dernière zone étant appelée la Sologne des étangs. Les plus importants dépassent 50 hectares (une dizaine dans ce cas). Le plus grand et le plus visité est l'Étang du Puits, situé à environ 60 km au sud-est d'Orléans, d'une superficie de 95 hectares (totalité du site 180 hectares), établi à la fin des années 1860 comme réservoir destiné à alimenter le canal de la Sauldre. Tous ces étangs ne datent pas du Moyen Âge, pourtant, c'est bien à cette époque que la plupart furent créés afin de faire disparaître les vastes marais qui s'étaient formés à la suite des déboisements intensifs. Aujourd'hui, ces étangs entretenus, mais sauvages, constituent des milieux naturels pour la faune et la flore.
La pêche en étang, en automne, est l'une des plus anciennes traditions de Sologne.
<< La vie des étangs (3) >>
Nouvelle série en Brenne avec parades de guifettes et accouplements :guifettes moustac-grèbes huppés
<< AG Versailles 4 septembre 2011 >>
L'invitation de François Parmentier était trop belle pour ne pas lui donner une suite!Les premières inquiétudes furent vite balayées et la décision fut prise.Par cette initiative,François permet à notre association de réparer un grand vide laissé par "Le Groupe Parisien" qui durant de nombreuses années a su animer la vie de nos berrichons,expatriés:une vie d'amitié,d'attachement très fort aux lieux,certes,mais surtout à leurs Maîtres,à leur enseignement et à l'éducation qu'ils reçurent dans les différents petits séminaires.Cette délocalisation lors de l'AG,un peu extraordinaire,va permettre à de nombreux anciens de pouvoir participer à une assemblée générale où il leur est souvent difficile de participer lorsqu'elles se passent dans le Berry.Les craintes initiales se sont évaporées car le nombre de participants déjà inscrits a atteint les limites requises pour une organisation optimale.Bravo et encore merci à François,notre hôte.
Jean-Claude Cazelisse
<< La vie des etangs-4 >>
Les étangs sont peu profonds, l'eau se renouvelle très faiblement, principalement par les eaux de pluies et de ruissellement. Les étangs sont de véritables capteurs solaires, ils redistribuent une énergie lumineuse nécessaire à la croissance des végétaux. Les eaux sont tempérées en surface et froides au fond, cette différence de température produit des courants thermiques qui oxygènent les eaux. Le fond est recouvert de vase, produite par les dépôts aquatiques (végétaux, minéraux, animaux), cette vase contribue à l'acidité des eaux. Tout un écosystème dépend des étangs, c'est un milieu unique et fragile, qu'il faut préserver. En effet, l'avenir des étangs est incertain, il est menacé par l'abandon des milieux ruraux, de la pollution, de l'envasement des berges, de l'assèchement, de l'acidité découlant des résineux, du développement des activités de plein air. Aujourd'hui, devenus peu rentables, les étangs se sont transformés en étangs de pêche ou de loisirs, ils contribuent, de par leurs intérêts écologiques et scientifiques, à une transmission du patrimoine. Ils sont le symbole de l'union de la nature et de l'homme !
<< Baie de somme Parc de Marquenterre >>
https://fr.wikipedia.org/wiki/Baie_de_Somme
http://www.baiedesomme.fr/lieu/1-14-parc-du-marquenterre
<< GUEDELON à Saint-Amand en Puisaye dans l'Yonne >>
l'aventure médiévale du XXIe siècle !
Au cœur de la Puisaye, dans l'Yonne, en Bourgogne, une cinquantaine d'oeuvriers relèvent un défi hors-norme : construire aujourd'hui un château fort selon les techniques et avec les matériaux utilisés au Moyen Âge.
La vue du chantier à l'automne 2014 - © Guédelon - Ph. D. Gliksman
Au milieu d'un espace naturel mettant à disposition toutes les matières premières nécessaires à la construction : pierre, bois, terre, sable, argile... des carriers, tailleurs de pierre, maçons, bûcherons, charpentiers, forgerons, tuiliers, charretières, cordier... bâtissent jour après jour un véritable château fort sous les yeux de milliers de visiteurs.
Quel que soit le créneau de réflexion retenu pour aborder ce chantier, Guédelon répond à bien des attentes de l'homme du XXIe siècle !
Guédelon est un chantier scientifique, historique, pédagogique, touristique et humain avant tout.
De saison en saison, les oeuvriers de Guédelon relèvent ce défi hors-norme. L'enceinte fortifiée, le logis et ses charpentes, la chambre et ses peintures murales, la cuisine et le cellier, les salles de tir et leurs imposantes voûtes d'ogives, une partie du chemin de ronde… ont été réalisés sous les yeux de milliers de visiteurs venus visiter ce chantier unique au monde.
Guédelon, construire pour comprendre
Les charpentiers de Guédelon - © Guédelon - Ph. F. Folcher
Qui ne s'est jamais interrogé en visitant un monument sur les techniques de construction des bâtisseurs médiévaux ? D'où venaient les matériaux ? Comment étaient-ils acheminés ? Quels outils étaient utilisés ? Par quels procédés les bâtisseurs montaient-ils les lourdes charges ?
Guédelon tente au quotidien d'apporter des réponses à toutes ces questions encore en suspens.
A l'heure où les maîtres mots sont nature et écologie, Guédelon est aussi un espace de construction où le Moyen Âge donne de nombreuses pistes pour les constructeurs verts de demain. Guédelon est un chantier précurseur : ils vous diront tout sur les murs en torchis, l'assemblage de moellons, les murs à la chaux, la fabrication des tuiles de terre ou de bois, l'emploi des pigments naturels, le tressage des cordes de lin ou de chanvre…
<< A l'approche du printemps 2017 >>
Réserve Naturelle Nationale de Chérine
SAINT-MICHEL-EN-BRENNE
La Réserve naturelle nationale de Chérine couvre une surface de presque 370ha. Elle étudie et protège les milieux naturels et les espèces qui y sont liées. Elle propose à ses visiteurs différents points d'observation ouvrant leurs fenêtre sur des paysages authentiques et de nombreuses espèces. Depuis sa création en 1985, la Réserve naturelle Nationale de Chérine s’applique à conserver son patrimoine naturel remarquable ou ordinaire. Pour se faire, elle entretient ses paysages par des actions adaptées (pâturage extensif, pisciculture sélective...) ; elle mène aussi des opérations de régulation des espèces exotiques envahissantes, ainsi que des activités pédagogiques et d’accueil du public. Les dernières acquisitions, réalisées grâce à ses partenaires historiques (Conseil Général de l’Indre, WWF-France, LPO) ont été intégrées au périmètre protégé de la Réserve Naturelle en septembre 2011, augmentant sa superficie de 145 à 370 ha. Ces nouveaux sites proposent d’ores et déjà des points d’observation, certains accessibles à tous les publics (chemins stabilisés, panneaux tactiles…).
<< printemps_2017_au_bord_des_etangs >>