Ma vision du nouveau paysage est éphémère. Le nouveau, instantané, n’est plus la seconde suivante.
Le nouveau est dans l'utopique. Ainsi la frontière de l’impossible, toujours limitrophe de celle du possible, est contiguë au nouveau.
Tant que cette idée flirtera avec cette limite, mes paysages resterons nouveaux.
Le paysage montre une zone floue en deuxième plan, le premier et le dernier étant nets, vision irréalisable en une prise de vue simple.