Je n’ai jamais eu une grande affection pour les criquets. Ça doit venir de Jiminy Criquet, dans Pinocchio version Walt Disney, un vrai empêcheur de tourner en rond http://fr.wikipedia.org/wiki/Jiminy_Cricket). Je trouve aussi qu’ils ont le don de se placer à des endroits impossibles à photographier et, les rares fois où la scène est photogénique, ils trouvent le tour de se pousser (doooing!) au moment où on presse sur le déclencheur. Sympathiques, mais de vrais emmerd…. Cet été, j’en ai quand même trouvé un de coopératif, qui s’est posé sur une feuille de bardane et a patiemment attendu que je le prenne en photo. Il a eu droit à toute ma reconnaissance. D’ailleurs, il m’arrive de m’échapper et de remercier mes petits sujets tout haut, quand ils sont coopératifs. J’espère seulement que personne ne m’écoute à ce moment, car il serait tout de même un peu gênant d’être pris en flagrant délit de remercier un buisson!