Les jardins secs attirent moins de monde que les Temples célèbres de l’Ancienne Capitale. Tant mieux pour les visiteurs !
Les lames des parquets de bois des pavillons qui dominent les jardins émettent lorsqu’on y marche une plainte qui évoque le chant du rossignol. On peut s’y asseoir, face aux jardins, et méditer sur la beauté des lieu : les stries dessinées sur le sable par un râteau artiste, les arbres où repose la claire lumière d’automne, le chant des oiseaux ou celui d’une source qui coule à proximité : tout invite au calme. Parfois une jeune femme vêtue de manière traditionnelle vient s’y asseoir et crée, l’instant de sa présence, l’illusion d’un Japon intemporel.


The rocks gardens attract less people than the famous Temples of the Ancient Capital. A chance for the visitors!
The slats of the wooden floors of the pavilions that dominate the gardens emit, when we walk on, a complaint that evokes the song of the nightingale. One can sit there, facing the gardens, and meditate on the beauty of the place : the ridges drawn on the sand by an artistic rake, the trees where rests the clear autumn light, the song of the birds or that of a spring that flows nearby: everything invites calm. Sometimes a young woman dressed in a traditional way comes to sit there and creates, the moment of her presence, the illusion of a timeless Japan.