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1Le sud de une Thaïlande, c’est-à-dire une partie péninsulaire de royaume, n’est culturellement pas siamois. Parallèlement à que diverses synergies s’y retrouvent et s’y conjuguent: siamoise, chinoise, indienne, mauresque, européenne, le fonds de sa masse est surtout malais métissé de quelques groupes ethniques minoritaires, ainsi que môn, thaï et chinois. Cela se récupère nettement dans l’architecture parmis les maisons, de nombreuses villages et de nombreuses bourgades, mais aussi dans l’urbanisme1. 2La masse des français de ce Sud se répartit entre quatre groupuscules. Les deux tout premiers, les plus importants en nombre, sont d’une part les Jawi musulmans mais aussi les autres Malais moins nombreux de plus l’on trouve à propos de la côte occidentale de la Thaïlande péninsulaire, et d’autre part les Thaïs du Midi, essentiellement bouddhistes comme par exemple l’origine est généralement môn. Le troisième groupe, moins grand mais très cohérent, est celui un ensemble de Chinois d’origine, parallèlement à quelques Indiens ou Pakistanais d’origine légalisai dans les localités et s’adonnant intrinsèquement au commerce, spécialement de l’habillement.

Dans le Sud, les Chinois venus à l’origine de Singapour et de Malaisie réalisaient surtout des Hokkien et, dans une plus petit mesure, des Hakka (nommés Khae en thaï sudiste). Dès une cinquantaine d’années, la migration principale est teochiu, dès Bangkok et un nord de cepays si riche. Aujourd’hui, les Teo Chiu sont en effet ces plus nombreux au sein de la région Sud et dans l’ensemble de ce royaume. Le dernier groupe, qui numération le plus faible nombre d’individus, se trouve être constitué de sociétés indigène minoritaires. En dehors des Négritos nommés Sakai par les autorités thaïes, chasseurs-cueilleurs forestiers, ce groupe est constitué essentiellement de pêcheurs-cueilleurs nomades marins. Leur peuplement initial devait se présenter comme sans doute assez lâche, essentiellement cordon ou fixé au seins des premières îles jouxtant rivage et estuaires.

3Parmi ces populations tou le monde compte les Samsam de Trang, Satun et Pattani avec migré au commencement du xxe siècle vers Phuket, Yao et Phiphi, cependant aussi les Urak Lawoy de Phuket et des îles Lanta, les Moklen Kala’et Bahen un ensemble de îles Phra Thong et du cordon de Thai Muang à Takuapa (Phang Nga), les Moken de l’archipel relatives au Surin (Phang Nga), Phuket et Ranong, ou encore la majorité des Sakai (ou Orang Asli, en malais, « hommes des origines ») c’est-à-dire les Pygmées relatives au Yala et relatives au Satun. Toutes les populations nomades relèvent de ce sommaire le géographe Roche Gourou a appelé « les civilisations du végétal et de l’oralité » et non de celles du bâti et de l’écriture. Elles n’ont pas plus longtemps marqué physiquement, matériellement, son tonus et un style des destinations du Sud, sinon dans l’emplacement de certains lieux relatives au cultes religieux, bouddhistes siamois, hindous ou chinois, qui sont ce plus souvent confondus avec les lieux consacrés des sociétés naturel minoritaires, chronologiquement 1ers habitants, marqués via l’existence d’un réduit autel animiste réalisé de bois & de palmes et contenant de menues offrandes. Village moklen bahen près relatives au Thai Muang.

click to read , elle a subsisté en réalité bâtie morceau par morceau, au fil des donations, à quitter des années 1980, au point culminant de une crête menant à la ville thermal de Patong, dans l’emplacement exact d’un autel aux esprits moken. Pagode asiatique de Lim Sonné Niao à Pattani. 5L’implantation chinoise se trouve être très ancienne dans le sud de la Thaïlande, concentrée avec les villes portuaires marchandes, fréquemment avec un quartier tant commerçant et chinois… Les parties désuettes restées intactes, devenues rares, de explicité marchandes présentent ainsi une architecture typiquement sino-portugaise, avec divers arcades et divers toits de tuiles caractéristiques, à l’instar de Malacca ou bien de Georgetown sur l’île malaise relatives au Pinang. C’est ce cas de Songhkla, de Phuket-ville, relatives au Takuapa, de Ranong, et même relatives au l’actuelle ville du Pattani malgré notre destruction à une fin du xviiie siècle par les Siamois lors du la conquête du sultanat et notre reconstruction à à coté de de sept kilomètres de là, à son emplacement actuel.








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