Dès les premières notes, dès les premiers mots, la voix rocailleuse de Ronan nous attrape et nous assoit. C’est parti pour quelques 90 minutes d’une chanson faite de poésie et d’un piano bondissant, dompté par Gaspar Chefdeville.
Certains pourraient regretter les sonorités et l’instrumentation du temps où Ronan sévissait avec les Vents Malins.
Pourtant, c’est ici que le texte prend son sens. Il nous offre toute l’émotion qui l’habite en toute simplicité.