Photographiée ici à l’issue d’une première à Ansabère.
Elle a permis l’envol de ma carrière de photochimiste.
Extrait du Cahier Vert écrit par Robert. Voir : https://pbase.com/update_image/172268762
Page 71 du Cahier Vert
c/. "Elle s’est toujours plaint de n’avoir pas assez d’argent,
depuis que nous sommes mariés, laissant même entendre que c’était
presque le misère et que les enfants ne mangeaient pas à leur faim".
Réponse de jm :
[Mais heureusement Mam m’a toujours acheté les produits
chimiques dont j’avais besoin pour les expériences passionnantes
que je menais dans mon « laboratoire » installé dans le garage
de la Petite Maison, lorsque j’avais 14-15 ans].
Ici mensonges et méchanceté du père Ollive :
"Elle a toujours eu ce qu’il fallait. Parfois elle en a bien davantage.
Mais elle a toujours plus ou moins dilapidé les fonds à elle confiés
pour le ménage, soit par ignorance et entêtement – elle n’a jamais
voulu écouter un conseil, ni faire ses comptes – soit par goût de la
dépense, soit pour faire la généreuse (distributions à sa famille,
invitations exagérées" [à cause de la pingrerie du paternel personne
n’était invité à la maison, pas même sa propre mère qui habitait seule
juste à côté et que je n’ai jamais vue à table avec nous dans la
Petite Maison], « bontés » plus ou moins bien placées.
22 Novembre 1938 – Mariage de Marie-Thérèse Cabanne et Robert Ollivier
Maïté, Robert, Blanche, Eugène Meyjonade, Mamie et Alexandre Cabanne
Mariage de Maïté et Robert à Saint Savin par l’abbé Pragnères
Mes futurs parents s’étaient connus à Pombie, au pied du Pic d’Ossau, au
mois de septembre 1932. Cet épisode est relaté dans le livre de Robert
sur le fameux pic. Il s’en suivit une fréquentation de plus en plus assidue
de l’un par l’autre, en montagne et au lit, durant six ans, sous l’œil
soucilleux de Blanche, la mère de Robert. Longue période pour des amoureux.
Je suis certain que Robert ne l’aimait déjà plus à la date du mariage,
s’il l’a jamais aimé en fait. Il en allait tout autrement pour Maïté,
qui n’a jamais voulu voir la réalité en face. Heureusement, ou malheureusement,
et momentanément, la guerre va lui sauver la mise, du moins le croit-elle.