Cet accord sera signé par J.C SPINETTA pour la Compagnie AIR FRANCE
et J.C CORBET pour le SNPL.
Ce texte ne sera jamais diffusé officiellement aux PNT.
En revanche il sera présenté sous diverses formes par les deux parties,
jusque dans sa quasi intégralité dans l'avenant au contrat de travail.
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un mot sur J-C CORBET, SEP 2007.
Un cas attristant pour la profession.
Rugbyman, pilote, Président du SNPL, co-inventeur de l'ESA et affairiste, tout un programme . . .
Comment passe-t-on de communiste à capitaliste en quelques minutes (LE POUVOIR et l'ARGENT).
Ce qui prouve que le pouvoir ne se donne pas, on le prend.
C'est dans la cour de récréation que déjà nous reconnaissons les futurs "KILLERS".
Rien ne les dérange . . .
Notre Jean-Charles de malheur va payer cher,
il ne fait pas partie du "club", très malhonnête mais bien conseillé par encore plus voyou.
Nous avions déjà connu ce cas avec la "SOGESTA" (1960/61) et LANGUILLAUME, encore un doux mélange de syndicat, de financiers verreux et d'un pilote manipulé devenu totalement mégalo.
Messieurs les pilotes, pilotez !
En tout cas, c'est J-C CORBET qui a signé cet accord où tout était mal préparé, autant du côté du SNPL que de la Direction d'Air France. L'ESA permettait de faire payer l'addition par les contribuables en sachant que les seuls risques étaient pris par les employés (PNT). Ils sont forts les bougres et nous de vrais "pommes".
En première lecture, 18 mois fermes, 2 ans avec sursis.
Le plus triste sont les emplois perdus et l'argent de l'Etat dilapidé.
Mais il ne faut pas oublié les autres acteurs qui n'y sont pas pour rien :
BOLLORE, COUVELAIRE, SELLIERES, de RIBES (BANQUE RIVAUD), GAYSSOT et bien d'autres, pas de problèmes pour ce beau monde, la vie . . .
TONITRUANT, procédurier en diable, attaquant systématiquement en justice tous ceux qui osaient le mettre en cause, l’homme, qui ne manque ni d’aplomb, ni de panache, avait jusque là toujours réussi à botter en touche. Mais cette fois, c’est fini. Tous ses biens sont mis sous séquestre. Le fisc lui a signifié un (premier) redressement de 38 millions d’Euros. A Bercy, d’aucuns qui n’ont toujours pas digéré son utilisation abusive de l’argent public ne le lâcheront plus. Et le voilà maintenant rattrapé par la justice. Triste fin de partie pour l’insubmersible Jean Charles Corbet, celui qu’on appelait, il n’y a pas si longtemps, « le sauveur d’Air Lib ».… Quatre ans après la faillite de la compagnie aérienne française qui avait laissé quelques 3000 salariés au tapis, la question n’est plus tant de savoir OU sont passés les 150 millions d’euros offert au repreneur par l’ancien actionnaire suisse de la compagnie. Mais comment cet incroyable hold up a été possible. Les questions sont nombreuses : Comment avec son improbable business plan, qui n’aurait pas convaincu le moins regardant des financiers, Jean Charles Corbet a-t-il pu l’emporter sur les autres ? Comment s’est il vu attribuer par le tribunal de commerce, et pour un euro symbolique, la seconde compagnie aérienne française, tout ses actifs, immeubles et avions, et surtout, cette manne de 150 millions d’euros en cash ? Comment, une fois cette manne envolée, l’ancien pilote a-t-il réussi à convaincre Jean Claude Gayssot, ministre des Transports de l’époque, de mettre la compagnie sous perfusion d’aides publiques, de report de charges et autres crédits d’impôts ? Pourquoi le successeur de Gayssot, l’UMP Dominique Bussereau, pourtant effaré par le dossier, a-t-il continué ? Les signaux d’alerte n’ont pas manqué. Très vite, des dysfonctionnements évidents étaient avérés.. Entre le mystérieux hollandais volants, des commissions extraordinaires versées à une poignée d’avocats, l’affaire a rapidement tourné au festin d’aigrefins. La bande des repreneurs s’avérait une belle équipe de pieds nickelés Tout le monde savait. Personne, absolument personne, n’était dupe. Mais personne n’a rien dit. Au nom de la sauvegarde de l’emploi, bien sûr…