« Deux premières parties (Markize et Kells) avec lesquelles nous pensons friser l’excellence, on se dit que TARJA aura du boulot. Les moyens ne sont certes pas les mêmes, mais l’expérience de la grande échelle se fait vite sentir. Une mise en place du plateau qui met en valeur chaque musicien. Batteur à cour, Clavier au centre et Cello à jardin nicheront chacun sur une estrade. Leur mise en lumière est parfaite. Le show débutera derrière un drap à la transparence limitée, ce qui commence par effrayer toute la troupe photographique ! Mais ce drap tombera après une longue intro symphonique et à la moitié du premier titre. Le Zénith crie, supporte, chante sur ce show aux ovations récurrentes. TARJA est heureuse d’être là et le dit à plusieurs reprises. …En plus d’une bonne humeur communicative, le show sera parfaitement mis en son. TARJA a un savoir-faire vocal extraordinaire à la limite du stupéfiant. Ses zicos ont une technique époustouflante et le batteur, avec ses faux airs de Wattie Buchan (chanteur de The Exploited) est remarquable. Il nous gratifiera d’ailleurs d’un solo monstrueux, gignatesque, dantesque, gargantuesque et autres –esque ! Un monstre rythmique ce mec. Bref, un show aux allures de performance. Quelle belle soirée. »

Critique du concert de Saint-Etienne, France, 3 jours après celui de Zürich.
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