Prishtina, un apres-midi pluvieux d'avril. Nous rencontrons M. Argaja. Handicapé de la main, souffrant de trouble d'élocution, il appel sa femme qui nous invite a prendre un cafe, et nous raconte leur histoire. Il dit avoir ete torture avant la guerre par des collegues albanais envieux et des miliciens serbes. Traumatisé par les chocs électriques reçus à la main, il semble en avoir perdu le controle. Une visite à l'hopital psychatrique et la prescription régulière de psychotropes calme pour un temps cette main habitée par une force qui le ronge.