Et tellement mieux dans son élément, ce sorbier des oiseaux (ou des oiseleurs, ce qui est déjà moins bucolique) que dans la rue de la gare de Laruns, où ils finissent de dépérir sous les rejets des campings-cars...
Empathie et sympathie pour vos photos et thèmes (la montagne, la vie, la poésie de la nature, nos proches, la sensualité de tout...la moto aussi- au fait, j'espère que c'était pas vous en trial la dernière fois que je suis monté au Salon du Ger avec un fiston-)
Il ne manque que la musique pour que je me reconnaisse tout à fait en "frêre humain" dans le site, mais comment photographier la beauté absolue d'un contrepoint?
En tout cas bravo, et amitiés d'un camarade de la même génération, aux mêmes préoccupations, me semble-t-il, mais qui vit proche de la mer (le littoral, lui aussi, est riche, fragile, et plus que menacé...)
